Genre complémentaire : Film à Sketch, Horreur Résumé : Deux contes d'horreur basés sur des nouvelles d'Edgar Allan Poe. La Vérité sur le cas de Monsieur Valdemar : Ernest Valdemar se meurt prématurément. Sa jeune femme et son amant, le docteur Hoffmann, voient leurs plans contrariés. Hoffmann hypnotise le mourant. Celui-ci, cadavérique, traque le couple... Le Chat noir : Rod Usher, photographe spécialisé dans le crime, est énervé par la présence d'un chat noir recueilli par sa compagne. Il terrorise l'animal et le tue. Mais il perd alors peu à peu l'esprit... Lieu de tournage : Pittsburgh, Pennsylvanie
- Festival international du film fantastique d'Avoriaz 1991 : nomination pour le Grand Prix,
- Fangoria Chainsaw Awards 1991 : nomination pour le prix du meilleur second rôle féminin (Adrienne Barbeau),
- Academy of Science Fiction, Fantasy & Horror Films 1993 : nomination pour le prix de la meilleure sortie vidéo.
Sélectionné au Festival international du film de Catalogne - Sitges 2017.
- Le Chat noir (The Black cat) :
Réalisé par Dario Argento - Scénario de Franco Ferrini et Dario Argento.
D'après la nouvelle "The Black cat" d'Edgar Allan Poe, publiée pour la première fois en première page de l'édition du 19/08/1843 de l'hebdomadaire The Saturday Evening Post, à Philadelphie.
En France, la première traduction paraît dans le journal La Démocratie Pacifique le 27/01/1847 (traduction d'Isabelle Meunier). D'autres traductions ont suivi (William L. Hughes pour le Journal des Faits le 18/04/1851, Paul Roger pour Chronique de France le 16/11/1853), mais la plus connu est celle de Charles Baudelaire, publiée le 04/02/1853 dans le journal Paris, avant d'être intégrée dans le recueil "Nouvelles histoires extraordinaires" (Michel Lévy frères, Paris, 1857).
- La Vérité sur le cas de Monsieur Valdemar (The Facts in the case of Mr. Valdemar) :
Réalisé par George A. Romero - Scénario de George A. Romero et Peter Koper.
D'après la nouvelle "The Facts in the case of M. Valdemar" d'Edgar Allan Poe, publiée pour la première fois simultanément dans le Broadway Journal du 20/12/1845 et le numéro de décembre 1845 de l'American Review : A Whig Journal.
En France, elle parait dans le recueil de nouvelles "Histoires extraordinaires" (Michel Lévy frères, Paris, 1856) dans une traduction de Charles Baudelaire.
Dario Argento voulait à l'origine que le film soit une collaboration entre quatre réalisateurs : George A. Romero, John Carpenter, Wes Craven et lui. Mais Carpenter et Craven se sont retirés du projet. Argento et Romero ont alors décidé d'aborder le projet comme une histoire en deux parties, chacun dirigeant son propre segment.
"The Black cat" est issu d'un projet de série de téléfilms adaptant Poe pour une chaine du câble américaine avortée.
Ce sont les premiers rôle et film de l'actrice Julie Benz qui deviendra populaire ensuite avec ses rôles récurrents dans des séries à succès (Roswell, Buffy contre les vampires, Angel, Dexter, No ordinary family, Defiance, Hawaii 5-0... ).
Dans la version italienne du film, elle est doublée par la fille de Dario Argento, l'actrice et réalisatrice Asia Argento.
Les effets spéciaux sont l'œuvre de Tom Savini, qui avait déjà travaillé avec Romero sur Martin (1977), Le Jour des morts-vivants (1985) ou Incidents de parcours (1989), et retravaillera avec Argento sur Trauma (1993).
Le film est un bide commercial à sa sortie.
Même constat en France, avec seulement 9 773 entrées.
Due occhi diabolici, Deux yeux maléfiques, 1989, Adrienne Barbeau, Ramy Zada, Bingo O'Malley, E.G. Marshall, Harvey Keitel, Madeleine Potter, John Amos, Sally Kirkland, Kim Hunter, Holter Graham, Martin Balsam, Chuck Aber, Jonathan Adams, Tom Atkins, Julie Benz, Bill Dalzell, Christine Forrest, James MacDonald, Larry John Meyers, Jeff Monahan, Peggy McIntaggart, Ben Tatar, Jonathan Sachar, Tom Savini, Dario Argento, George A. Romero, cinéma, cinefaniac, action, aventures, comédie, guerre, noir, comédie musicale, western, critique, base de données, Deux yeux maléfiques DVD, Due occhi diabolici DVD, DVD, Deux yeux maléfiques critique, Due occhi diabolici critique, Dario Argento, George A. Romero critique
